Notre expertise éditique

Jusqu'au début des années 1990, les sorties des programmes informatiques étaient produites sous forme de listing, ou dans une forme plus sophistiquée par superposition des donnée issues de ces programmes sur des réimprimés souvent apparentés eux-mêmes à des listings (liasses). L'apparition au début des années 1990 des imprimantes laser comme imprimantes de production en remplacement des imprimantes à impact a fait émerger des progiciels spécialisés dans l'implémentation de données variables sur des sorties de production incluant l'impression des fonds de page eux-mêmes. Un des premiers logiciel éditique apparu dans la décennie 1990 était le résultat du portage sur des systèmes d'exploitation "ouverts" (Unix, Windows) d'un logiciel Xerox plus ancien dédié aux Mainframes (MVS). Il, est à noter que dès le début des années 1970, ce logiciel était capable de produire avec des données variables l'équivalent d'un journal comme le Times. Il a malgré tout fallu vingt ans pour que l'éditique nous permettent d'utiliser des polices à corps variable plutôt que des polices à corps fixe; c'est-à-dire des "m" plus large que de "n" eux-mêmes plus larges que des "i". Il a fallu aussi attendre vingt ans pour que l'on puisse tracer des lignes et des tableaux sur une sortie de production en n'utilisant ni les "=" (lignes horizontales) ni les "!" (lignes verticales).

Paul Lahmi, dirigeant de SOOD a accompagné Xerox en tant que Directeur de Projet au début des années 1990 dans cette révolution du passage de l'analogique au numérique. Un des premiers projets éditique développé a été pour la facturation d'un "utilities" (distribution d'eaux) où la facture avait été repensée pour intégrer des histogrammes et des zones de dialogues et surtout grâce à la couleur démontrer que l'essentiel de ce qu'était payé par le consommateur était des taxes … Ainsi cette toute première application éditique avait fait prendre conscience à l'entreprise que la facture était souvent une des rares occasion de pouvoir communiquer avec ses clients …

Depuis, l'éditique doit tenir compte pour les productions de masse qu'une bonne partie de celle-ci ne sera pas imprimée, ou tout du moins par sur les imprimantes centrales de production. Ainsi, par exemple, dans les solution éditiques actuelles, une facture doit pouvoir aujourd'hui être imprimée et mise sous pli pour un envoi traditionnel, ou produite sous forme de PDF pour être transmise par email, voire directement envoyée dans le coffre-fort électronique du client associé. Dans certains cas, la facture n'est matérialisée sous forme papier ou électronique qu'à la demande du client, quand il y pense …

Aujourd'hui le choix d'une solution d'éditique engage l'entreprise pour de nombreuses années et a un impact sur toutes les technologies connexes. Le choix ne se limite donc pas au choix d'un progiciel d'éditique mais bien tout d'abord à une réflexion sur l'impact du document sur les applications métiers, la connexion à des projets de GED de Workflow, de confiance numérique (signature électronique, coffre-fort électronique…), d'archivage, de dématérialisation, de CRM, etc…

Les ingénieurs de SOOD ont déjà assuré avec succès des prestations de haute technicité pour une société internationale de télécommunications en Tierce Maintenance Applicative pour des applications incluant Editique et Signature Electronique, technologies internet. Près de 10 milliards de dollars ont été facturés par notre client en huit années sans le moindre incident notable grâce à nos prestations.

Nous pouvons contribuer au succès de tout projet intégrant éditique et technologies connexes que ce soit en apportant des prestations de conseil, d’assistance à maitrise d’œuvre et/ou maitrise d’ouvrage, ou pour leur réalisation dans le cadre de projet forfaitaire ou de TMA (Tierce Maintenance Applicative).

Pour tous vos projets d'Editique, de GED ou de confiance numérique n'hésitez pas à nous contacter afin que nous puissions vous accompagner dans les meilleures conditions financières et techniques.